Édition du 40e anniversaire – Avec un texte d’accompagnement par Neale Donald Walsch
Il contient des Opinions sur L’Intelligence de la Matière.
Cette traduction a été réalisée à partir de la IVe édition, revue et augmentée, de l’ouvrage L’Intelligence de la Matière (2021).
Traduit du roumain par Roxana Sicoe-Tirea
Postface de Mircea Bărbuceanu
Dites au Professeur Dumitru Constantin-Dulcan, s’il vous plaît, que j’ai bien lu son livre extraordinaire, L’Intelligence de la Matière, et que je souhaite lui faire part de ma profonde admiration ainsi que de ma gratitude. Son ouvrage est incroyable et merveilleusement bénéfique pour notre espèce qu’il aide à comprendre la portée de la vie. Je suis frappé par la profonde ressemblance entre ses recherches académiques et ce que j’ai pu recevoir à travers la révélation spirituelle. Je vous prie de lui transmettre ma fidèle appréciation.
Affectueusement, NEALE DONALD WALSCH
Dr DUMITRU CONSTANTIN-DULCAN, professeur des universités, a attiré l’attention du grand public notamment après la publication de la première édition de l’ouvrage L’Intelligence de la Matière, en 1981, devenu immédiatement un bestseller. En 1992, ce livre a reçu le Prix de philosophie « Vasile Conta » de l’Académie roumaine.
Un volume impressionnant d’informations, issu des principaux domaines de la connaissance, est admirablement synthétisé en une œuvre unitaire, facile d’accès, rédigée dans un style limpide et attrayant.
Le chemin de la matière, du premier rayon de lumière jusqu’au moment où, par le biais du cerveau humain, on peut prendre conscience de soi-même – voici le contenu de L’Intelligence de la Matière. (Éditions Şcoala Ardeleană)
Dumitru Constantin-Dulcan :
Tout comme les humains, les livres ont leur propre destinée avec un possible succès à leur parution, une longévité, en fonction de l’intérêt suscité, et un oubli quelque part dans la poussière d’une étagère. La pérennité de cet ouvrage dans la conscience publique a constitué une surprise pour moi-même. Depuis le moment de son lancement, il a bénéficié d’une large audience. L’aspect le plus significatif concernant sa réception m’a semblé être sa lecture aussi bien par des matérialistes acerbes que par des théologiens importants. Ceci serait dû au fait que mon but n’a pas été celui d’émettre des sentences, de répondre à toutes les questions auxquelles je n’avais pas encore de réponse, mais de saisir le rapport entre science et religion dans le monde d’aujourd’hui.
Nous sommes ici, dans ce coin de l’Univers, l’expression ultime de l’évolution. La main d’un architecte intelligent et invisible nous a arrachés à la glaise et nous a construits selon un plan d’où transparaît l’unicité de la source, marche après marche, jusqu’au niveau du cerveau capable de se penser soi-même.
Tout ce qui s’est passé, s’est passé pour nous. Nous sommes le résultat de tous les événements heureux ou malheureux qui nous ont précédés et la cause des événements futurs.
Nous sommes ceux qui laissent derrière eux les splendeurs de l’esprit et les ruines de l’impuissance. L’être humain est le seul destiné à s’impliquer dans la démarche de la nature à travers l’extension de son intelligence. C’est sa responsabilité d’être. On ne peut vivre purement et simplement, on ne peut avoir une existence passive. Volontairement ou non, on s’implique dans la physique de l’Univers. Qu’on le veuille ou non, nous agissons à travers nos pensées, nos initiatives, nos bonnes ou nos mauvaises actions. C’est au moment où cette vérité nous habitera qu’à l’instant astral de notre devenir s’allumera en nous la lumière de l’intelligence qui s’est retrouvée elle-même après un long périple sur les chemins de l’Univers.
Opinions sur L’Intelligence de la Matière
Petre Brânzei, professeur des universités, psychiatre :
« Un genre d’ouvrage que notre littérature n’a pas connu auparavant, c’est bien cela L’Intelligence de la Matière. On y utilise des éléments du domaine de la médecine, de la biologie, de la génétique, de la chimie, de la physique des particules élémentaires, de l’astrophysique, de la psychiatrie, de la philosophie, de la botanique, de la zoologie, de l’informatique, etc… chacun de façon indépendante, mais dans une vision intégratrice… Ce travail peut être considéré comme une biographie de l’évolution de la matière sur ce long et compliqué chemin de “l’intelligence” et dans son aventure cosmique vers le haut sommet de l’intelligence humaine. » (Fragment du discours de présentation du livre à Iaşi, en tant qu’invité du journal Cronica, 1981)
Zoe Dumitrescu-Buşulenga, membre de l’Académie roumaine, critique et historienne littéraire :
« Jusqu’à la parution de votre livre, j’avais une seule vision du monde : celle cultivée par l’école car je n’avais pas d’autres sources. Au moment où je vous ai lu, j’ai compris que l’on pouvait penser différemment. »
Vasile Constantinescu, poète, prosateur et essayiste :
« Tous les éléments que l’auteur utilise disposent d’une signification qui dépasse le cadre strict des domaines de spécialité en s’intégrant dans une vision unique aux multiples et complexes implications philosophiques. Ce travail insolite dans l’aire des préoccupations scientifiques de notre pays propose un ample dialogue d’idées sur le terrain de la philosophie… un horizon inattendu de la connexion entre les sciences, totalement bienvenu et utile. » (Cronica, Iaşi, no 41, 9, 1981)
Sabina Drăgănel, écrivaine et traductrice :
« Dumitru Constantin a réussi l’inhabituelle performance de transformer une montagne informationnelle en une démonstration convaincante d’une indiscutable valeur stylistique. » (România literară, no 9, 1986)
Valeriu Ghigeanu, psychologue et journaliste :
« Lecteur de la grande leçon de la nature, constructeur d’hypothèses, œuvrant pour la démythisation, l’auteur fournit un effort épistémologique satisfaisant tout lecteur, quelle que soit sa profession. » (Muncitorul Sanitar, no 20, 1981)
Solomon Marcus, membre de l’Académie roumaine, mathématicien :
« Dumitru Constantin systématise une somme de faits qui mettent en évidence un ordre et une cohésion de la nature qui n’a rien à envier à celui que l’être humain introduit délibérément dans son environnement. C’est cela la motivation de la métaphore l’intelligence de la matière. » (Viaţa Studenţească, novembre 1981)
Ion Mânzat, professeur des universités, psychologue :
« Dumitru Constantin-Dulcan est persuadé que chaque être humain est capable de trouver sa propre voie en fonction de sa propre pensée. Réfléchir de façon authentique signifie être libre. Vivre sous l’emprise des modèles étrangers signifie être prisonnier. »
Dumitru Micu, professeur des universités, historien et critique littéraire :
« L’Intelligence de la matière est un livre des ceux qui s’épuisent de façon fulgurante. Écrit par un médecin neurologue, il aborde des questions d’intérêt maximal pour tout intellectuel, de toute spécialité et des catégories de lecteurs des plus diverses. Synthèse succincte de tout ce qui a été éventuellement écrit sur la thématique de l’étude intime de l’évolution et des propriétés de la matière vivante – ce livre n’est pas qu’un dépôt d’informations scientifiques, un instrument d’initiation du profane dans l’univers de la biologie mais il constitue en même temps une écriture incitante, stimulatrice. » (România liberă, 10 août 1981)
Valeriu Mihăilă, médecin, écrivain et publiciste :
« Le Professeur Dumitru Constantin-Dulcan… est parvenu à tracer une véritable summa de la connaissance sur l’être humain, intitulée, de façon heureuse, L’Intelligence de la matière. » (Viaţa medicală, no 16, 19 avril 2002)
A. Păunescu-Podeanu, professeur des universités, médecin :
« Ce livre apporte à celui qui l’ouvre non seulement un ensemble de connaissances des domaines les plus variés mais un système organisé de données qui suivent une voie claire de pensée, se cristallisent dans un flux cohérent et logique, ouvre un nouvel horizon et force la raison à pénétrer dans un domaine où elle n’avait pas osé à s’aventurer jusqu’à ce moment-là. Vous avez fait, à travers cette publication, un ouvrage pour illuminer l’esprit, vous avez accompli une œuvre de grand courage, censée insuffler aux autres l’audace de penser ouvertement dans un domaine si intéressant et utile à notre âme et à notre existence ! Ce livre nous offre une rencontre avec des idées, des pensées, des notions qui nous sont chères, qui nous tourmentent et que nous retrouvons ici exprimées, interprétées, liées entre elles d’une manière si brillante qu’elles nous provoquent une volupté spirituelle telle l’audition des grandes symphonies ou l’admiration des grandes créations artistiques du patrimoine culturel de l’humanité… Votre ouvrage est devenu, pour moi, un livre de chevet. » (Lettre à l’auteur lors de la parution du livre, en 1981)
Paul Popescu-Neveanu, membre de l’Académie roumaine, psychologue :
« L’intérêt manifesté par les lecteurs pour le volume L’Intelligence de la matière s’explique par le contenu de l’ouvrage, par la richesse des informations. À ceux-ci s’ajoutent la compétence scientifique, les vertus d’essayiste de l’auteur, qui font de ce volume l’un des livres rares qui méritent notre attention… Cet ouvrage est un essai scientifique dédié à la noble cause de l’univers humain. » (Viaţa militară, no 8, 1981)
Eugen A. Pora, membre de l’Académie roumaine, zoologue, écophysiologue, océanographe :
« Ce fut pour moi un délice spirituel, à travers tout ce qu’il expose et surtout à travers la logique des phénomènes exposés. Je te remercie pour les cinq jours où j’ai savouré ton livre. Il est rare d’avoir l’occasion de telles satisfactions spirituelles. Je te félicite de tout cœur ! » (Lettre à l’auteur à la parution du livre, en 1981)
Ovidiu Predescu, professeur des universités, juriste et publiciste :
« En ce qui me concerne, L’Intelligence de la matière constitue un miracle qui a marqué de façon essentielle mon évolution scientifique et spirituelle. Ce livre, que j’ai lu crayon à la main, en soulignant encore et encore des passages entiers, représente le produit noble d’un esprit exceptionnel, appartenant à un auteur d’une immense et solide culture, qui a étudié et a approfondi beaucoup de domaines de la connaissance pour arriver, au final, à démontrer l’existence d’une intelligence responsable de tout l’édifice de l’univers, de l’évolution du monde vivant et non-vivant. Il s’agit de Dumitru Constantin-Dulcan, savant, professeur, neurologue, psychiatre, chercheur, philosophe de la science, et écrivain, l’un des ceux que Dieu a choisis pour faire passer Son message, dans le but de ramener l’humanité dans Son monde. »
Mirela Roznoveanu, critique littéraire et journaliste :
« Le sens de la vie – nous dit Dumitru Constantin – est l’évolution, le perfectionnement dans notre cerveau de l’information nécessaire pour que le but de notre vie soit la connaissance. Vers l’an 2000, des mutations profondes dans la connaissance humaine rappelleront aux humains que nous sommes tous pareils et que chaque être, maille d’une chaîne cosmique, a le droit d’évoluer, d’accomplir ses aspirations profondes. La vie est communication, une île d’intelligence dans un univers cohérent qui est formé de matière, d’énergie et d’information, même si, à partir d’un point, elles se substituent les unes aux autres. L’homme complexe doit accomplir la synthèse des formes de connaissance, celles de ses propres profondeurs et immensités cosmiques. »
Aurel Sasu, professeur des universités, critique et historien littéraire :
« L’œuvre du Professeur Dumitru Constantin-Dulcan est le miroir de sa propre transparence en tant que biographie et narcissisme de l’accomplissement. Il s’agit de l’heureuse projection de joie dans l’histoire des grandes idées et dans l’euphorie de leur communication sans frontières. Voici un moyen d’être actuel et de dire que l’homme apprend le prix de l’isolement et de la solitude uniquement dans la mesure où il accepte la vie en tant que prison de l’esprit. C’est ainsi que ce projet s’inscrit de soi en tant qu’hommage apporté à la valeur, à l’imaginaire vivant et aux retrouvailles de la communion de ce qui nous entoure et de ce qui, en tant que miracle, devient l’abri de nos utopies. »
Maria Timuc, écrivaine et journaliste :
« Ce livre place Dumitru Constantin-Dulcan dans une position unique dans l’espace culturel roumain, en faisant de lui un pionnier de la spiritualité pratique ou de la Nouvelle Spiritualité. »
Doinel Tronaru, écrivain et journaliste :
« Une connaissance qui puisse renouer avec la Tradition des initiés de l’Antiquité en englobant toutes les conquêtes réelles post-Renaissance de la modernité, quoi de plus important et de plus urgent pour l’être humain ? Malheureusement, il me semble que le nouveau paradigme de la postmodernité tend à transformer le scientifique, tout comme l’artiste, en simple employé des intérêts économiques du moment. Bien récompensés, pour la première fois dans l’Histoire, ils acceptent cet état des choses qui leur confère une existence à laquelle ils ne pouvaient que rêver autrefois mais les fait perdre la postérité ainsi que l’accès aux essences invisibles. Désormais, les hommes comme Dumitru Constantin-Dulcan seront de moins en moins nombreux. Et si l’on arrive à ce stade, l’égarement de l’espèce humaine continuera encore pour longtemps. »
Marius Vasileanu, historien des religions et publiciste :
« Le livre L’Intelligence de la matière a représenté l’une des formules les plus inspirées et subversives pour parler des miracles accomplis par Dieu en plein communisme. Aujourd’hui, son auteur, un homme d’une vivacité et d’une joie de vivre hors du commun, le docteur et professeur Dumitru Constantin-Dulcan continue à écrire avec la même passion. »
Dorel Vişan, acteur et écrivain :
« Dans les années ’80, j’ai lu un de ses livres, L’Intelligence de la matière, qui était très à la mode et très apprécié, ayant obtenu, à ma connaissance, le Prix de l’Académie roumaine pour la philosophie. J’ai eu besoin de dizaines d’années et de nombreuses lectures pour comprendre, de ce livre merveilleux, une idée généreuse qui m’a constamment poursuivi : … expression ultime de l’évolution, l’être humain laisse derrière soi les splendeurs de son esprit et les ruines de sa vanité… »
Romulus Vulcănescu, membre de l’Académie roumaine, ethnologue :
« L’Intelligence de la matière est unique dans la littérature scientifique roumaine à travers la quantité d’information présentée dans une synthèse intégratrice qui fait honneur à son auteur ainsi qu’à la culture roumaine. Cet ouvrage a été source d’un réel plaisir intellectuel, marqué par un intérêt grandissant à chaque chapitre parcouru… C’est un immense privilège pour moi de vous avoir lu. » (Lettre à l’auteur, 13 juillet 1995)
Roxana Sicoe-Tirea, traductrice de l’édition française :
« Traduire cet ouvrage à destin singulier représente une expérience totale. Chaque explication et chaque pensée transposées ont dessiné un parcours sans faille dans la compréhension de l’Esprit du monde animé, de notre place dans l’Univers et du sens de nos responsabilités. Un livre unique qui ne nous laissera jamais tomber. »
Mircea Bărbuceanu, Physicien :
À travers la vaste problématique abordée, soutenue par les arguments du scientifique avisé, à travers la richesse des informations des domaines étendus de la connaissance, présenté dans une vision intégratrice et sous la forme d’un essai remarquable, ce qui n’a pas encore été réalisé dans la littérature autochtone, le Professeur Dumitru Constantin-Dulcan nous a offert un livre original, digne d’un vif intérêt, utile à l’esprit, à l’âme et à la lutte contre les préjugés, dans un monde qui semble avoir perdu son sens, devenant de moins en moins sûr par rapport à sa propre vie.
Sommaire
Avant-propos de l’auteur à l’édition en français
Prologue
Chapitre I: LA MATIÈRE ET LA VIE
LE COMMENCEMENT
Y a-t-il eu un commencement ? — Une lumière qui perce d’un coup les ténèbres — Les trois premières minutes du monde — Questionnements… — Retour à la mythologie ? — L’évolution… — … et l’histoire — La théorie du Big Bang aujourd’hui — Le Vide — La théorie du chaos — La matière noire et l’énergie noire.
L’APPARITION DE LA VIE – UNE NÉCESSITÉ COSMIQUE
La vie – une finalité cosmique — La vie – un phénomène universel — Structures nécessaires au vivant — Unité dans la diversité — Le modèle du monde vivant.
ÉVOLUTION ET HASARD
Est-ce que tout est hasard ? — Erreur génétique = création ? — Une finalité logique — L’erreur signifie-t-elle progrès ? — Le darwinisme et le néodarwinisme aujourd’hui.
Chapitre II: L’INFORMATION ET LA VIE
L’INFORMATION – CONDITION DE LA VIE
Les êtres vivants – de simples mécanismes thermodynamiques ? — Biosystèmes — La vie = néguentropie — La vie = une oscillation autour d’un point d’équilibre — La vie = traitement d’informations.
LE CONCEPT D’INFORMATION EN BIOLOGIE
Information et connaissance — La bio-information — Petites causes et grands effets — Des programmes hérités, des programmes acquis à travers l’éducation — Oui et non ou la signification de l’information.
STRUCTURES CAPABLES DE TRAITER L’INFORMATION
Un point de vue — Qui dirige la fonctionnalité d’un protozoaire ? — Entre conscience et instinct — Une graine de raison — Est-ce que le système nerveux est la seule structure capable de traiter l’information ? — Arguments — Données actuelles concernant l’implication de l’information dans la physiologie du vivant — Le concept actuel d’informations plus profondes que celles génétiques.
UN MODÈLE INFORMATIONNEL DU MONDE VIVANT
L’Univers – un système évolutif — Aux mêmes solutions, les mêmes problèmes — Des formes et des fonctions différentes pour les mêmes informations génétiques — Information et structure — Le modèle ou le pattern informationnel de la matière vivante.
Chapitre III: L’ÉNERGIE ET LA VIE
LA PHYSIQUE DU VIVANT
Biochamps — Interférences de champs — Les rythmes de la vie — Le rythme de la vie et de la mort — Y a-t-il un modèle énergétique du vivant ? — Biochamp et champ électromagnétique — Un océan de signaux — La biocommunication — La position du scientifique — L’interdisciplinarité – la clé de la connaissance — Des phénomènes rares — L’énergie du vivant – une énergie électrique ? — La physique du vivant aujourd’hui.
LA BIOCOMMUNICATION – UN PHÉNOMÈNE OBJECTIVABLE
Une expérience — Définitions — La pensée – une force — Réception et prise de conscience — La force d’impact de la pensée — Des modifications objectives — Le langage universel ou la pensée sans mots — Suggestion et champ énergétique — La communication – un attribut fondamental du monde vivant — La télépathie – un pré-langage ? — La télépathie expérimentale chez les Russes — La NASA et la télépathie — La télépathie et la vie sociale des insectes — Conclusions sur le phénomène de biocommunication — Les implications du phénomène de biocommunication aujourd’hui.
LA SENSIBILITÉ DU MONDE VÉGÉTAL – UNE RÉALITÉ ?
Les précurseurs : Chandra Bose et Cleve Backster — L’initiation des études concernant la biocommunication des plantes en Roumanie.
Chapitre IV: L’INTELLIGENCE DE LA MATIÈRE
L’ESSENCE DE LA VIE
L’interruption du silence minéral — L’essence du vivant – communication, intelligence — L’intelligence de la matière — Les définitions de l’intelligence — Les niveaux de l’intelligence — L’intelligence humaine et l’intelligence basale — Certitude et erreur — L’intelligence intrinsèque et extrinsèque — Un champ informationnel universel — Le cerveau invisible — L’information intelligente — La conception de Jung et Pauli — La Gnose de Princeton — Initiation ou science ? — L’essence de la vie perçue aujourd’hui — Revenons aux niveaux de l’intelligence — Entre instinct et délibération intelligente.
L’INTELLIGENCE DE LA NATURE
Instincts et actes délibérés — Les instincts = des programmes intelligents — Des comportements intelligents — L’esclavage chez les insectes — Les cultivateurs de champignons — Confort citadin — La communication à travers la danse — Les guêpes chirurgiens — La nature ne gaspille pas l’intelligence — La grande leçon de la nature — L’intelligence anticipative — Des bateaux vivants — Une partie de chasse — Un monde de castes — La communication sans langage articulé — Le langage chimique — La communication par les sons — Les ultrasons — Les infrasons — Les sons — Imprinting — Chant et communication — Les galaxies de la vie — L’oiseau de feu — La bioluminescence — Le radar vivant — La communication par le langage — Est-ce que les animaux sont des êtres agressifs ? — Vae victis ! — Nous ne sommes pas les seuls êtres intelligents — Le crime de tuer par plaisir — Des hommes et des animaux — La vie = ce « quelque chose » mis dans la matière.
ÉROS ET THANATOS
La sexualité — Sublimation — Redondance et échec — Thanatos ou Memento mori — Des doutes supplémentaires — Le perfectionnement — La mort – une renaissance — Carpe diem — Pourquoi la mort dans un Univers quantique ?
Chapitre V: MATIÈRE ET PENSÉE
LES BASES NEUROPHYSIOLOGIQUES DE LA CONSCIENCE
La formation réticulée — Vigilance = conscience — La désafférentation sensorielle — La conscience cellulaire — Quelques précisions utiles aujourd’hui — Conscient, Subconscient, Inconscient — Les modèles fonctionnels du subconscient.
Y A-T-IL D’AUTRES DIMENSIONS PSYCHOPHYSIOLOGIQUES DE LA CONSCIENCE HUMAINE ?
Le Temps — Temps biologique — Temps physiologique — Temps psychologique — L’extase — « La vision » de Jung — Conditionnement et détermination — Mythe et rituel.
L’AUTO-PROGRAMMATION POUR LA CHANCE OU POUR L’ÉCHEC
L’image de soi — La barrière psychologique — Des modèles de référence — L’auto-programmation — Pour une nouvelle image de soi — La programmation du subconscient — Qui nous sommes — La science de l’esprit et les techniques d’autocontrôle mental et émotionnel d’aujourd’hui.
Chapitre VI: L’UNIVERS DE LA CONNAISSANCE OU LE CHEMINEMENT VERS NOUS-MÊMES
LA CONNAISSANCE SCIENTIFIQUE
Perception et connaissance — De la certitude à l’incertitude — « Le monde est tout entier dans un grain de sable logé » — La conscience universelle — La physique moderne abolit le hasard.
RELIGION ET SAVOIR
Définition — Objet — L’Histoire des doctrines révélées — L’Histoire des sciences ésotériques ou la science des mystères — Le contenu des doctrines ésotériques — La critique de la pensée ésotérique — Les valeurs morales des religions — Y a-t-il une opposition entre la science et la religion ?
Chapitre VII: DES PAS VERS L’UNITÉ COSMIQUE DE NOTRE ÊTRE
Le désespoir de l’être essentiel — Regarder et voir — La clé du savoir — La voie vers les dieux — Une précision à travers le temps — Des répétitions nécessaires — Le niveau critique d’énergie — Les effets de l’état de relaxation ou de l’état alpha — La physiologie de la relaxation — Une méthode pratique de relaxation — Quand se relaxer — Arrêtons un instant la machine à fabriquer des pensées.
LE STRESS DANS LE MONDE MODERNE
Le poison de notre peur — Le phénomène de « coping » — Comportement de type A et B — L’imagerie mentale positive — La technique de l’imagerie mentale positive — La technique de l’imagerie mentale – à présent — Le sentiment d’exister ou « la joie de vivre » — La science et l’art d’être — L’utilité d’un passe-temps — Le code éthique du cerveau.
Sous le signe de L’Intelligence de la Matière (Postface de Mircea Bărbuceanu)
Bibliographie sélective
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Dr DUMITRU CONSTANTIN-DULCAN :
Professeur des universités, né en 1938 (Piteşti – Roumanie), médecin neurologue et psychiatre, ancien directeur de Clinique de Neuropsychiatrie de l’Hôpital Militaire Central de Bucarest. Titres académiques – Docteur en sciences médicales, Doctor Honoris Causa, Professeur des universités. Membre de nombreuses sociétés scientifiques en Roumanie et à l’étranger. Membre de la Société Internationale des Recherches sur le Cerveau. Membre de la Société des Médecins Écrivains et Publicistes de Roumanie.
Il est l’auteur principal de 11 monographies, 4 cours universitaires de son domaine professionnel et de plus de 300 ouvrages et communications scientifiques.
Il a publié 8 volumes d’essais ou de philosophie de la science pour lesquels il a reçu des distinctions : le Prix de l’Académie roumaine (1992), le Prix de l’Académie des Sciences (2011), le Prix de la Belgique pour la critique littéraire de l’œuvre de Maurice Carême (2003), la Médaille d’Excellence Goldability pour la promotion de la science de la spiritualité (2014).
Commandant de l’Ordre « Steaua României » et Officier de l’Ordre « Meritul Sanitar ». Il a participé à 6 études cliniques internationales. Détenteur de 4 brevets d’invention accordés par l’OSIM (1975, 1977). Mentionné dans 4 dictionnaires biographiques.